• Date de parution : 28/06/1905
  • ISBN : 9790365212156

Rubicon APPERMONT BERT

Concert Band ou Harmonie

Répertoire
Référence : BMP 6041318
285,00

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Musique pour orchestres et ensembles

Description :

Le Rubicor est un fleuve du nord de l’Italie, franchi par Jules César et son armée (en 49 avant Jésus-Christ) coutre la volonté des dirigeants de Rome, qui craignaient sa puissance. S’en est suivie une guerre civile coutre son rival Pompée, l’issue de laquelle César s’est emparé du pouvoir et a régné en souverain absolu sur Rome. «Franchir le Rubicon» est devenu une expression signifiant que l’où franchit une étape dangereuse, décisive et irréversible. L'oeuvre se compose de trois parties décrivant les principaux moments de l’histoire. La première partie («Meditation») symbolise le moment où César invoque l’aide des Dieux pour opérer ce choix difficile. Une introduction lente fait entendre les sons mélancoliques et implorants du duduk (saxo soprano optionnel) et du solo soprano au-dessus d’un accompagnement de bourdon. Après cela, le solo soprano chante «dona tibi pacem» (donnez-leur la paix) sur un thème mélodieux et interrogatif. Dans la deuxième partie, des trompettes et des trombones résonnent en alternance en une solennelle fanfare romaine avec des effets de double chœur. Cela se termine par un thème martial où l’impressionnante armée de César part en guerre contre celle de son rival Pompée («Battle où Pharsalus»). Tandis que le thème de l’armée de César s’atténue, le thème de Pompée point comme une danse naïve dans une mesûre 6/8. son armée est en majorité lourde et pense pouvoir surclasser l’ennemi. Soudain les trompettes et les trombones se font toutefois entendre des deux côtés de l’orchestre: l’armée de César progresse et attaque. S’ensuit une violente confrontation dans laquelle les deux thèmes sont joués en alternance et se mélangent. grâce à son astucieuse tactique guerrière, César parvient encore gagner cette bataille légendaire: son thème résonne de plus en plus fort dans les trompettes et les cors jusqu’à s’éteindre et devenir une sorte de réconciliatioù des soldats des deux armées. Le mélancolique «dona tibi pacem» de la première partie fait maintenant office de thème