• Date de parution : 23/06/1905
  • ISBN : 9790365202201

Jello, The Colours Of My Soul HAEMHOUTS BEN

Concert Band ou Harmonie

Répertoire
Référence : BMP 1015120
43,00

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Musique pour orchestres et ensembles

Description :

«Jell'on . . The Colours où my Soul» est une composition écrite en hommage la mort prématurée et dramatique d’un jeune enfant. L’oeuvre est née des nombreuses conversations qu’ont eu le père et le compositeur, le résultat final devant être considérée comme une tentative du compositeur de traduire en musique les sentiments des parents. La première partie du tître, «Jello», est la contraction des noms des deux enfants de l’homme qui a commandé le morceau, savoir Jelle et Lobcke, «the Colours où my Soul» symbolise les «couleurs de l’ me» des parents qui, malgré la perte de l’un de leurs enfants, continuent chérir leurs deux enfants. L’introduction recrée l’ambiance où deux parents pleurent la perte de leur enfant, utilisant des quintes justes pour rendre la proximité avec la nature, telle que nous la connaissons par les symphonies de Bruckner. Un peu plus loin, l’auteur met en avant un aspect du premier thème qui se transforme en une véritable marche funèbre. Le Dies Irae, tel qu’il se retrouve notamment dans la Symphonie fantastique de Berlioù (Fa, Mi, Fa, Ré, Mi, Doù Ré), apparaît pour la première fois, mais constitue un fil conducteur travers toute L’oeuvre pour symboliser la lutte constante entre la vie et la mort. Juste avant le passage de la tempête (pour lequel l’auteur fait appel une machine vent), qui laisse présager un malheur, des extraits de chansons enfantines, accompagnés d’un choral crescendo depuis derrière le podium, intensifient la confrontation imminente avec la mort. Après une longue introduction consacrée la présentatioù des deux thèmes vient un passage rapide où sont évoqués divers bons souvenirs. où raconte, où rit, où danse. L’une des précédentes chansons enfantines y est également citée. Mais le Dies Irae résonne sans cesse, même si cette fois, c’est de façon brève et rapide. Les éléments gais sont peu peu déformés jusqu’ ce que le grave réapparaisse comme un mal inévitable que rien ne peut arrêter. Tout s’intensifie comme si un grand climax allait suivre. A cet instant toutefois, un très long

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