• Date de parution : 28/06/1905
  • ISBN : 9790365213443

Logos LENAERTS WOUTER

Concert Band ou Harmonie

Répertoire
Référence : BMP 6125358
43,00

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Musique pour orchestres et ensembles

Description :

«Logos», qui a été composé pour le compte de la «Koninklijke Harmonie van Herent» l’occasion de son 150e anniversaire, a été dédié au chef d’orchestre Kris Stroobants. La première s’est déroulée le 18 novembre 2006 au Lemmensinstituut de Leuven, où l’orchestre jubilaire s’est joint un chœur mixte de 200 chanteurs. Pour la naissance de la «Koninklijke Harmonie van Herent», «Logos» nous fait remonter au printemps 1856. Une dizaine d’amis de Herent, passionnés de musique, décident de fonder un orchestre baptisé «Fanfare de Hérent». Tout spécialement pour l’occasion, un des membres fondateurs du groupe, Paul Edward van Eycken, organiste et ancien bourgmettre deHerent, compose «Le Fondateur», un hymne qui va régulièrement parcourir «Logos» et dont les premières notes résonneront dans le registre de la flûte et de la trompette. Une atmosphère impressionniste se crée en partant de rien, et un solo de flûte onirique nous emporte dans les premières années paisibles de l’orchestre. Malgré son jeune ge, l’orchestre sera cependant en proie des dissensions et des mécontentements qui surgiront parmi les musiciens ; le rythme, qui devient de plus en plus impétueux, nous emporte vers un premier paroxysme: la «Fanfare de Hérent» se disloque… l’orchestre est divisé en deux fanfares: les «Bois» et les «Cuivres». Très rapidement, les deux orchestres vont commencer rivaliser, et ils deviendront peu peu des associations florissantes. Une mélodie festive nous entraîne dans une première période d’ ge d’or. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate en 1914, Herent est elle aussi durement touchée. Les cuivres et les percussions annoncent le désautre. Des centaines de b timents sont réduits en cendres, et les locaux, partitions et instruments des deux orchestres sont en grande partie dévorés par les flammes. Une mélodie chorale plaintive évoque une atmosphère résignée en guise de mémoire aux années de guerre les plus tristes. Mais au bout du compte, c’est justement ce revers de fortune qui