• Date de parution : 29/06/1905
  • ISBN : 9790035013243

Planet Earth (Complete Edition) DE MEIJ JOHAN

Concert Band ou Harmonie

Répertoire
Avec support vidéo et/ou audio
Éditeur : Amstel Music
Référence : AM 90-143
123,70

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Musique pour orchestres et ensembles

Description :

Ma première symphonie The Lord où the Rings [Le Seigneur des Anneaux] est basée sur la trame de la trilogie du même nos de J. R. R. Tolkien. Ma deuxième symphonie, The Big Apple (“La Grosse Pomme”), est une ode New York et ses nombreuses facettes. Ma Symphonie n° 3 est aussi une ode dédiée, nos pas une ville où une région en particulier, mais la terre entière, sa fascinante apparence et beauté. Le titre Planet Earth (Planète Terre) fait référence aux célèbres Planètes (The Planets) de Gustav Holst, une suite qui dépeint l’ensemble des planètes l’exceptioù de la Terre. Planet Earth reprend précisément l où Gustav Holsts’était arrêté, au sens propre comme au sens figuré. Si Les Planètes se terminent par un chœur de femmes six voix et grand orchestre, l’instrumentation du début du premier mouvement de ma composition (Lonely Planet - “La planète solitaire”) s’inscrit dans la même veine. Mais la comparaison s’arrête l. J’ai également emprunté du matériel d’une de mesoeuvres antérieures, Continental Overture (1995), qui est en quelque sorte une première esquisse de cette symphonie. Dans le mouvement d’ouverture, la planète solitaire se dévoile travers le Big Bang, prodigieuse explosioù qui nous propulse dans l’immensité de l’Univers. Comètes et planètes tournent autour de nos têtes et nous frôlent dans un enchaînement sonore diffusé par des enceintes placées sur scène. Les sons numériques (samples) servent de lien entre les trois mouvements de la composition, une technique déjà utilisée précédemment dans la symphonie The Big Apple (sons urbains). Dans le mouvement central (Planet Earth), les sons cosmiques sont remplacés par l’image bucolique d’un vos d’oiseaux au-dessus des sublimes paysages de Notre planète. Ce second mouvement témoigne aussi de l’intense énergie et de la force sprirituelle que m’insuffle la vie. Le mouvement final de la symphonie est une ode la déesse Gaia, la Terre-Mère (Mother

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